Il est toujours sur son vélo, et il est le plus « tendance » de la presqu’ile. Crozon a tous les atouts pour en devenir le paradis.
Le paradis ne se décrète pas. La volonté est un bon commencement pour y tendre.
La priorité donnée à ce type de déplacement semble le meilleur moyen.
Pour se faire l’idée est à la fois de développer la piste cyclable, et de lui donner la priorité quand ils se croisent avec la voiture.
Lorsque l’on s’approche au volant d’un passage piéton, le devoir d’un conducteur est de s’arrêter. Le principe repris dans l’exemple du rond-point de la gendarmerie ou « porte du couchant » à rajouter à cette priorité le vélo au piéton.
Les presqu’iliens ont toujours eu la volonté de remplacer l’ancien tracé du chemin de fer en une voie dédiée aux piétons et aux vélos.
Les interruptions aux multiples raisons, font que cette volonté sera anillée tant que la continuité ne sera pas établie.
Toutefois on s’aperçoit que le piéton et le vélo peuvent devenir des soucis pour les uns et les autres.
Même si la discipline n’est pas un adage français, ne pas matérialiser un cheminement distinct pour chacun accentuera ce souci.
Il y a des centres piétonniers, et nous n’avons pas besoin d’explication pour comprendre qui en est le prioritaire.
Le cycliste pourrait aussi être le prioritaire.
Deux cas se présentent dans l’exemple donné par le rond-point de la gendarmerie ou « porte du couchant » :
Sur le boulevard de Pralognan la Vanoise, l’allée cyclable parallèle au l’allée véhicule servirait aussi de contre allée.
L’allée qui les longent les terrains de football, prise sur l’ancienne voie ferroviaire deviendrait cyclable et piétonne. Crozon invente délors la rue cyclable et à nouveau nous n’avons pas besoin d’explication pour comprendre qui en est le prioritaire.
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