Je suis régulièrement interpellé où que je sois sur la presqu’ile de Crozon pour réorienter mes interlocuteurs. Ils sont nombreux à venir nous rendre visite et souvent ils arrivent de pays lointains, et débarqués au bout du monde ils ne savent plus où ils sont.
De la personne qui se croit à l’autre bout de sa destination, il m’est arrivé de renseigner des visiteurs qui étaient dans la rue recherchée.
Le premier renseignement qu’ils veulent connaitre, est leur localité au sein de la presqu’ile. Pour le visiteur de la presqu’ile, l’association ne se fait pas entre Tel Ar Groz, Crozon, le Fret ou Morgat…
Pour cela utilisons nos rond points et en son centre retrouvons deux anneaux.
Le premier pour rassurer et reconnaitre que nous sommes sur la « presqu’ile de Crozon » et à « Crozon – ville » en l’occurrence pour l’exemple proposé sur le rond-point de la gendarmerie.
Le deuxième pour identifier au sein de l’espace le lieu où nous sommes. Le carrefour de la gendarmerie est obscure pour un déodatiens qui se présente pour la première fois. Pourquoi pas « porte du couchant ». « Porte » pour extrémité et « couchant » pour l’ouest.
En saison estival, d’autres informations ont leur importance. De célèbres évènements sportifs, culturels, musical ont lieu.
L’utilisation du rond-point est à nouveau sollicitée.
De grandes bannières répètent l’informations et rends la fête déjà présente.
Une anarchie demeure aussi sur les l’identification des commerces et services.
Certes cela peut se corriger entre la collectivité et les professionnels, en respectant les demandes d’autorisations nécessaires, mais durant la saison il faut aller plus loin, notamment sur le périphérique dont le boulevard de Pralognan la Vanoise fait partie.
La aussi des bannières dont les lampadaires peuvent être support indiquent aux visiteurs l’enseigne qu’ils recherchent.
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